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cheminée de Saint-Martin

Quitter le couvent par la grande allée d’arbres à l’est. Elle mène à un bon sentier légèrement descendant : laisser à droite une première bifurcation vers le Chevalier (1/4 d’heure) puis une seconde vers le Fontanil. Désormais la trace est moins nette, surtout les 100 premiers mètres. Elle rejoint sur le côté une première cheminée étroite et raid

Elle contourne la falaise pour s’engager dans la vraie cheminée, large et facile, à 40 minutes du couvent. Montée facile, mains dans les poches par sol sec… beaucoup moins commode s’il est humide.

Sortie par un lacet en sous bois à gauche avec retour pour franchir l’arête puis vers la droite un sentier très mal tracé. Il aboutit à une centaine de mètres à une raide descendant de biais vers le sud. La suivre sur une cinquantaine de mètres : elle passe alors sous l’extrémité du chemin transversal. Chemin bien tracé que l’on peut suivre vers la gauche. Il devient route forestière et conduit sans difficulté ni risque d’erreur au Pas de l’âne [chemin désormais interdit par arrêté municipal.] Il est également possible depuis le chemin transversal de continuer en face dans la pente, un peu vers la gauche, pour aller au village de Mont Saint Martin que l’on aperçoit.

Il aurait enfin été possible, dès que l’on avait atteint la sortie du sous bois, de suivre vers la gauche le versant est de l’arête. On peut ainsi remonter jusqu’au Pas de l’âne [chemin désormais interdit par arrêté municipal] montant par d’assez bonnes traces mais aussi en franchissant au mieux quelques taillis ou en grimpant quelques ressauts rocheux.

Mais le problème de cet itinéraire est beaucoup plus délicat dans l’autre sens.

Du Pas de l’âne [promenade interdite par arrêté municipal], le chemin suit d’abord sur la droite le bord de la prairie puis entre en sous bois un peu au-dessus d’un chalet.

Très bien tracé, il décrit trois grands lacets dans la forêt, à droite de la prairie, puis va faire un dernier coude juste au-dessous d’elle.

Désormais il descend régulièrement en biais à droite vers le sud, laissant en chemin une bifurcation sur la gauche vers les combes de Saint-Martin.

Il arrive à une route forestière transversale qui à gauche descend vers la route des combes et à droite se rétrécit peu à peu en chemin d’abord muletier, puis presque sentier.

Il faut le suivre jusqu’au bout, résistant à l’envie de partir sur la droite dans une attirante prairie.

Quand on en arrive au moment où vraiment il se perd et alors seulement, il faut se résigner à traverser sur la droite une pente herbeuse et plantée de jeunes arbustes.

Après une ou deux minutes, la prairie devient dégagée : obliquer alors vers la gauche, en direction du point bas de l’arête.

Quelques traces de sentier se devinent et peuvent aider sur le replat à s’orienter sur la droite vers les gros pins.

Là, à l’orée du bois, il faut bien repérer un sentier très net qui part d’abord vers le nord, puis bientôt descend et revient à gauche vers le sommet de la cheminée. La découverte du sentier est vraiment la clé du passage.

Sentier n°9 balisé par Corepha